L'enfance de Raven : le début de la vrai vie !

Le jour de mes 10 ans arrive bientôt. L’âge où l’on apprend a se débrouillez et a voler sa propre nourriture par ses propres moyens !
J’habite dans la cité des bannis, Barniek, cité éloigné de toutes grandes villes et situé en plein désert aride.
D’après mon père et le peu d’écrit de notre passé, notre bannissement date de 1000 ans, a la suite d’un terrible événement, mais personne ne sais de quoi il s’agit. L’un des textes parle d’une chance de racheter les erreurs du passé. La encore, cela reste trouble.
Le peu de ville entourant Barkniek sont des petits villages, et aucun ne veux nous accepté. Pour survivre, nous sommes obligé de volé et parfois de tuer.
Demain arrive si vite. Je ne veux pas tuer, mais je risque d’y être forcé un jour. Demain tout sera différent. Dans notre village, dés 10 ans et après quelques leçons de vie, les parents vous abandonnent, il n’y a pas d’instinct parental ! Soit vous êtes assez fort pour survivre, soit vous êtes voués a la mort. Ainsi seuls les plus forts sont gardés et la population n’augmente pas. Mais je suis loin d’être parmi les plus forts. J’ai peur de ne pas survivre et la peur est la plus grande faiblesse.
Il est tant de dormir, il faut que je sois prêt dés l’aube. Chaque soir j’écrirai ma journée, en espérant que personne ne le remarque.


Le lendemain matin, après une nuit agitée, il était temps de recevoir mes premières leçons de vie. Dans 3 jours, je devrais me débrouillé seul, et allez voler moi-même a nourriture.

« Lève-toi, cria mon père. »

Il semblait pressé que je finisse mes leçons, et espéré pour moi un meilleur avenir que le sien.
On prit la route de la sortie du village. Dans moins d’une heure, je serai dans la ville. J’y avais déjà était pour assisté a quelques vols discrètement, mais jamais je n’avais volé quoi que ce soit.

« - On arrive, ne montre rien qui puisse faire savoir d’où on vient, me dit mon père
- Papa, pourquoi mes leçons sont elles si pressante ?, lui demandais-je. Je croyais que les leçons pouvaient se poursuivre pendant toute l’année des 10 ans.
- Le temps presse, mais toi et les autres enfants seront peut-être les seuls survivants.
-Survivants ?!? Mais de quoi parles-tu ?, insistais-je.
-Lors du terrible événement il y a 1000 ans, le roi de l’époque décida de tué tout ceux de notre cité, nous étions parait-il dangereux, m’expliqua t’il. Il venait alors de détruire une cité ayant des liens, encore inconnus a ce jour, avec la notre.
Mais d’après les écrits, lorsque l’autre cité tomba, elle nous envoya une protection de 1000 ans. Le roi, et tout ceux qui lui succédèrent nous banni dans ce désert en attendant la fin de la protection. 1000 ans se sont écoulés, et d’après nos information, l’attaque du roi est prévu pour dans 3 jours. Ton entrainement de demain, tu devras le poursuivre seul pendant que nous préparons un plan de secours. »

Je voulais poser des questions, mais pas un son ne sortit. Le village, ses habitants, ma famille, nous étions tous en danger.
Un faucon s’approcha de mon père avec un message :

« L’attaque du roi se passera demain, rentre vite, s’entrainé seul durcira Raven »

« Je dois d’urgence rejoindre le village. Ne te fait pas prendre mon fils »

Je n’avais rien eu le temps de dire qu’il était déjà parti. Je devais tenir toute la journée dans ce village, et ne rentrait que le soir.
Un entrainement de 3 jours concentré en un seul, mais j’étais prêt a tous pour survivre.
Des gardes patrouillés dans la ville. Le roi avait choisis ce jour pour rendre visite aux habitants de ce village, accompagné de sa garde royal. Survivre dans de telles conditions était désespéré.
Une heure avait passé et la faim se faisais ressentir. Je m’approchai discrètement d’une vieille dame et la suivi. Elle ne semblait pas bien riche, ses vêtements étaient usés. Je l’entendit dire a un vieux Mr :

« J’ai réussi à avoir de quoi nourrir ma famille. J’espère que ca suffira »

Non, je ne pouvais pas faire ca ! Sans cet argent, sa famille sera privée d’un des besoins le plus élémentaires. Heureusement un marché se tenait au loin.
Je m’approchai discrètement d’un marchand de fruit et y pris quelques pêches, pommes et bananes. Pour le moment, pas de problème.

« Brave gens, nous surveillons votre marché, cria un garde. »

Je devais me contenté de quelques fruits pour la journée. Le garde se tourna vers moi et voyons mes poches pleines de fruit, et m’ayant surpris de loin à prendre ces fruits, se mit a me poursuivre.
Nous étions réputés pour notre rapidité, un de nos points fort, mais les gardes étaient partout. L’un d’eux cria :

« Arrêtez-le ! »

Les gens se mirent aussi à me chercher. Ma course se transforma en course d’obstacle. Je courrai aussi vite que je le pouvais, mais les gardes venaient de tout les cotés et ma seule issus était une impasse !
Je m’agrippai à une fenêtre donnant sur cette impasse et d’un seul élan bondis sur le toit de la maison. Les gardes et les gens rejoignirent le toit par les maisons, j’étais cerné.
Il me restait une chance, sauté du toi et atterrir dans un buisson. Mais avant, je bondis de toits en toits pour me rapproché du marché. Je sautai sur le buisson et j’en sortis avec quelques issus. Le marché était vide, les gens était a ma recherché. Je pris rapidement quelque fruit et me mit dans une vieille ruelle abandonné où personne ne me chercherai. J’avais de quoi mangé, il ne me restait qu’a attendre l’heure de repartir.
Un faucon arriva avec un message de mon père :

« La cité connait quelques problèmes mineurs, trouve un moyen de dormir au village, et reste y jusqu'à que je te le dise. »

Mon père ne s’était jamais inquiété pour moi ! Ce qu’il se passait était grave !
Je pris la décision de passé la nuit dans le village et demain, dés l’aube, d’allez rejoindre la cité et voir ce qu’il s’y passe !